Le vietnamien Marcel Van a eu de nombreuses apparitions de Jésus, de la Vierge Marie et de sainte Thérèse de Lisieux. C’est un chant d’amour à Jésus, selon la petite voie théresienne, qui nous donne l’espérance que l’amour de Jésus et de Marie vaincra, notamment en France, puis dans le monde.
En voici des extraits :
"Mon enfant, prie, prie beaucoup pour que le règne de l'amour de Jésus soit solidement établi sur terre dans toute sa beauté, et qu'il en soit de même pour mon propre règne. Le monde entier me reconnaîtra pour sa véritable Mère, et c'est alors qu'il comprendra clairement l'amour dont mon cœur déborde pour lui.
Prie mon enfant, le règne de l'Amour arrivera bientôt dans le
monde et mon règne à moi le suivra de près."
"Petit enfant de mon amour, écoute, je vais te dicter une prière et cette prière, je veux que les Français me la récitent…
"Seigneur Jésus, aie compassion de la France, daigne l'étreindre dans ton amour et lui en montrer toute la tendresse. Fais que, remplie d'amour pour toi, elle contribue à te faire aimer de toutes les nations de la terre. Ô amour de Jésus, nous prenons ici l'engagement de te rester à jamais fidèles et de travailler d'un cœur ardent à répandre ton règne dans l'univers. Amen."
Ô mon enfant, dis aux Français que cette prière est celle-là même que je veux entendre de leur bouche. Elle est sortie de mon cœur brûlant d'amour et je veux que les Français soient les seuls à la réciter."
"[...] n'oublie pas le pays que j'aime le plus, tu entends, le pays qui a produit la première petite fleur [...] c'est en France que mon amour s'est tout d'abord manifesté. Hélas ! Mon enfant, pendant que le flot de cet amour coulait par la France et l'univers, la France, sacrilègement, l'a fait dériver dans l'amour du monde de sorte qu'il va diminuant peu à peu... C'est pourquoi la France est malheureuse. Mais, mon enfant, la France est toujours le pays que j'aime et chéris particulièrement ... J'y rétablirai mon amour... Le châtiment que je lui ai envoyé est maintenant terminé. Pour commencer à répandre sur elle mon amour, je n'attends désormais qu'une chose : que l'on m'adresse assez de prières. Alors, mon enfant, de la France mon amour s'étendra dans le monde. Je me servirai de la France pour étendre partout le règne de mon amour. [...] Sans la prière, on rencontrera de nombreux obstacles pénibles à surmonter et le règne de mon amour ne s'établira que très difficilement."
Ou : Marie-Michel, L’amour ne peut mourir, Marcel Van : sa vie, ses écrits spirituels, sa correspondance
L’amour de Jésus s’est manifesté en France par le mystère de son Sacré-Cœur.
Les membres de la famille de Béthanie (Marie-Madelaine, Marthe et Lazare) brûlaient d’amour pour Jésus et sont venus jusqu’en Provence.
Saint Jean a reposé sur ce Cœur à la Cène, et a entendu ses battements jusqu’à en être bouleversé. Et des disciples à lui, comme saint Irénée (disciple de saint Polycarpe, lui-même disciple de saint Jean), ont évangélisé notre pays, et ont donc laissé la trace de la spiritualité du disciple Bien-Aimé.
Jésus a manifesté l’amour de son Cœur à Paray-le-Monial à sainte Marguerite-Marie. Nous fêtons cette année les 350 ans de ces apparitions. Ne ratons pas cette occasion d’honorer l’amour de Jésus au travers de son Sacré-Cœur, uni au Cœur Immaculé de Marie !
« Voici ce cœur qui a tant aimé les hommes et qui reçoit en retour tant d'ingratitudes »
« Voici ce Cœur qui a tant aimé les hommes qu’il n’a rien épargné jusqu’à s’épuiser et se consumer... »
« Mon Cœur est passionné d’amour pour les hommes, et pour toi en particulier. »
Jésus, apparitions de Paray-le-Monial, 1673-1675)
Et soyons sûrs que Dieu donnera par là un renouveau.
“Ce mystère de l’amour de Dieu pour nous ne constitue pas
seulement le contenu du culte et de la dévotion au Coeur de Jésus :
c’est, de la même façon, le contenu de toute vraie spiritualité
et dévotion chrétienne. Il est donc important de souligner
que le fondement de cette dévotion est aussi ancien que le
christianisme lui-même. En effet, il n’est possible d’être
chrétien que le regard tourné vers la Croix de notre Rédempteur, «
vers Celui qu’ils ont transpercé” (Jean 19, 37; cf.
Zach 12, 10).”